Sale temps pour la planète
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Sale temps pour la planète
Lors de la conférence mondiale sur le climat (COP21) qui s'est tenue en 2015, les États se sont engagés à limiter le réchauffement climatique global bien en dessous de 2 °C par rapport à la période préindustrielle (1850-1900) et à poursuivre leurs efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C. La communauté scientifique internationale, par le biais du GIEC, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, a été mandatée pour évaluer la faisabilité de cet objectif de limitation du réchauffement global en dessous de 1,5 °C et en estimer les impacts associés.
Ces travaux ont fait l'objet d'un rapport spécial, dont le résumé à l'intention des décideurs a été rendu public lundi 8 octobre en Corée du Sud. Que faut-il en retenir ?
Réchauffement climatique : les constats
En matière de contexte global, le GIEC indique qu'en 2017, le réchauffement global a atteint +1 °C (± 0,2 °C) par rapport à la période préindustrielle et que les émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine provoquent une hausse moyenne des températures de l'ordre de 0,2 °C par décennie à l'échelle de la planète. A ce rythme, le seuil de 1,5 °C de réchauffement devrait être atteint d’ici 2040.
Un réchauffement de 1,5 °C : quelles conséquences ?
Une telle élévation de température est lourde de conséquences sur le climat mondial : les vagues de chaleur et les fortes précipitations seraient plus fréquentes dans de nombreuses régions du globe, les sécheresses plus fréquentes par endroit. Les calottes glaciaires groenlandaises et antarctiques seraient possiblement déstabilisées, avec une possible élévation massive du niveau de la mer de 30 à 70 cm d’ici 2100, pouvant avoir un impact important y compris en zone tropicale.
Et un réchauffement à 2°C ?
Si le réchauffement devait être encore plus prononcé pour atteindre par exemple 2°C, les conséquences sur les écosystèmes les plus fragiles, la montée des eaux et l'accès aux ressources en eau et en nourriture des habitants des régions insulaires et subtropicales seraient encore plus marquées.
Le niveau des mers devrait augmenter de 10 cm de plus par rapport à un réchauffement de 1,5°C. Les cyclones seraient globalement moins fréquents mais beaucoup plus intenses au niveau des vents, précipitations et houles associées. Le corail tendrait à disparaître et les stocks de poisson diminueraient gravement.
Ces travaux ont fait l'objet d'un rapport spécial, dont le résumé à l'intention des décideurs a été rendu public lundi 8 octobre en Corée du Sud. Que faut-il en retenir ?
Réchauffement climatique : les constats
En matière de contexte global, le GIEC indique qu'en 2017, le réchauffement global a atteint +1 °C (± 0,2 °C) par rapport à la période préindustrielle et que les émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine provoquent une hausse moyenne des températures de l'ordre de 0,2 °C par décennie à l'échelle de la planète. A ce rythme, le seuil de 1,5 °C de réchauffement devrait être atteint d’ici 2040.
Un réchauffement de 1,5 °C : quelles conséquences ?
Une telle élévation de température est lourde de conséquences sur le climat mondial : les vagues de chaleur et les fortes précipitations seraient plus fréquentes dans de nombreuses régions du globe, les sécheresses plus fréquentes par endroit. Les calottes glaciaires groenlandaises et antarctiques seraient possiblement déstabilisées, avec une possible élévation massive du niveau de la mer de 30 à 70 cm d’ici 2100, pouvant avoir un impact important y compris en zone tropicale.
Et un réchauffement à 2°C ?
Si le réchauffement devait être encore plus prononcé pour atteindre par exemple 2°C, les conséquences sur les écosystèmes les plus fragiles, la montée des eaux et l'accès aux ressources en eau et en nourriture des habitants des régions insulaires et subtropicales seraient encore plus marquées.
Le niveau des mers devrait augmenter de 10 cm de plus par rapport à un réchauffement de 1,5°C. Les cyclones seraient globalement moins fréquents mais beaucoup plus intenses au niveau des vents, précipitations et houles associées. Le corail tendrait à disparaître et les stocks de poisson diminueraient gravement.
olivierh- Jedi
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Points : 6866
Date d'inscription : 11/10/2014
Age : 61
Localisation : tahiti
Re: Sale temps pour la planète
Quand on apprend que 70% des émissions de CO2 sont produites par seulement 100 grosses industries, on se dit que les initiatives citoyennes telles que éteindre sa télé le soir au lieu de la mettre en veille, ou économiser l'eau chaude, ou aller au boulot en vélo, c'est une goutte d'eau dans la mer. Alors à quoi bon...
olivierh- Jedi
- Messages : 5412
Points : 6866
Date d'inscription : 11/10/2014
Age : 61
Localisation : tahiti
Re: Sale temps pour la planète
Le postulat est de croire à la cause anthropique des changements de température. Or, je n'y crois pas, les variations de températures ont toujours existé, et dans des proportions parfois plus importantes, trois clics de souris vous le montreront.
Quand à faire de la planète un être vivant, c'est du panthéisme, chose que je croyais disparue depuis longtemps dans nos contrées. C'est un bout de roche qui existait avant l'homme et qui existera après.
Le Giec est une arnaque, qui calcule au doigt mouillé ses prédictions qui ne valent pas mieux que celle de madame Irma.
Quand à faire de la planète un être vivant, c'est du panthéisme, chose que je croyais disparue depuis longtemps dans nos contrées. C'est un bout de roche qui existait avant l'homme et qui existera après.
Le Giec est une arnaque, qui calcule au doigt mouillé ses prédictions qui ne valent pas mieux que celle de madame Irma.
Le Nain- Moderateur
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Date d'inscription : 18/04/2014
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Re: Sale temps pour la planète
Le Nain a écrit:Le postulat est de croire à la cause anthropique des changements de température. Or, je n'y crois pas, les variations de températures ont toujours existé, et dans des proportions parfois plus importantes, trois clics de souris vous le montreront.
Quand à faire de la planète un être vivant, c'est du panthéisme, chose que je croyais disparue depuis longtemps dans nos contrées. C'est un bout de roche qui existait avant l'homme et qui existera après.
Le Giec est une arnaque, qui calcule au doigt mouillé ses prédictions qui ne valent pas mieux que celle de madame Irma.
Certes il est vrai que notre pauvre terre est passée par différents périodes climatiques mais tout de même l'augmentation des concentrations en gaz à effet de serre dans l'atmosphère devrait contrarier et bouleverser à court terme un dérèglement climatique assez important.
PAT13- Admin
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Date d'inscription : 05/02/2014
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Le Nain- Moderateur
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Age : 67
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