grille de ...?

Ma sortie de samedi sur le sable sec a donné pas mal de pièces polynésiennes et calédoniennes (1432 Francs) avec l'AT, que j'avais sans doute ratées avec le GT qui n'aime pas le nickel
En plus, un écrou carré (?), deux 5 cents d'euros bouffés comme d'hab, et une curieuse petite grille en inox de forme bizarre, oblique et courbée aux deux extrémités.
Mais pas de bague    Là, PAT va râler...

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Tous plein de piecette

Ah, ah, voilà que ce bon Olivier a retrouvé les restes de mademoiselle Beuze, alias grille d'égoût, surnommée ainsi à cause de ses dents espacées. La voici avec La Goulue, rendue célèbre par Toulouse Lautrec, qui est enterrée au Père Lachaise.


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Moi je t’échangerai bien une série de tes polynésienne contre une série de mes vieux NAPO

Pas de bague ....alors là déçu quand à la grille on dirait bien celle d'un ancien rasoir électrique .

PAT13 a écrit:Pas de bague ....alors là déçu quand à la grille on dirait bien celle d'un ancien rasoir électrique .

j'y avais pensé, mais si la taille pourrait correspondre, la forme me parait surprenante. Et puis l'épaisseur est plus importante que les grilles de rasoir : avec la mienne, tu ne coupes pas, tu arraches la barbe

trapanelle a écrit: Moi je t’échangerai bien une série de tes polynésienne contre une série de mes vieux NAPO  

Alors là, pas de problème, j'ai du stock de polynésiennes tu les veux millésimées, fautées, en nickel pur, sans IEOM ?

Les femmes était belle à cette époque mais les foufoune moins et avec en option la bonne odeurs de fromage

Bolderiz49 a écrit:Les femmes était belle à cette époque mais les foufoune moins et avec en option la bonne odeurs  de fromage

Bonsoir la poésie .

Un peu de merde et de fromage
Ne sont pas pour effaroucher
Mon nez, ma bouche et mon courage
Dans l’amour de gamahucher.

L’odeur m’est assez gaie en somme,
Du trou du cul de mes amants,
Aigre et fraîche comme la pomme
Dans la moiteur de saints ferments.

Et ma langue que rien ne dompte,
Par la douceur des longs poils roux
Raide et folle de bonne honte
Assouvit là ses plus forts goûts,

Puis pourléchant le périnée
Et les couilles d’un mode lent,
Au long du chibre contournée
S’arrête à la base du gland.

Elle y puise âprement en quête
Du nanan qu’elle mourrait pour,
Sive, la crème de quéquette
Caillée aux éclisses d’amour

Ensuite, après la politesse
Traditionnelle au méat
Rentre dans la bouche où s’empresse
De la suivre le vit béat,

Débordant de foutre qu’avale
Ce moi confit en onction
Parmi l’extase sans rivale
De cette bénédiction !


C'est Paul Verlaine qui l'écrit

L’Idole, Sonnet du Trou du Cul

Arthur Rimbaud

Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C’est l’olive pâmée, et la flûte caline,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !

ahhhhhhhhhhhh quelle classe, quelle leçon de prose que nous ont laissés nos poètes d'antan