fret en provenance de Chine.

L'avion tahitien qui était parti la semaine dernière à Shangai pour rapporter du matériel médical (masques, blouses, médicaments) est revenu seulement hier, et a pu rapporter pas mal de choses, notamment 1,8 millions de masques chirurgicaux. Il reste à Shangai 300 m3 que l'avion n'a pu emporter, et qui seront transportés par un vol prochain.
D'après les autorités et la compagnie, le fret a été bloqué pendant plusieurs jours en Chine, car les douaniers chinois ont reçu pour consigne de vérifier les certificats de conformité de tous les matériels expédiés de Chine vers l'étranger, pour lutter contre les contrefaçons de matériel médical ou de médicaments.
La Chine tient à protéger son image...ce qui explique en partie les lenteurs d'approvisionnement dans le monde.

La Chine tient à protéger sont image !!!!!!!!

Pourvu que leurs envois ne nous disent pas par la suite que cela était aussi porteur du virus , par ces temps j'éviterai de passer commande de produits venant de là bas.

Et oui pat ça commence comme ça
Méfie

PAT13 a écrit:Pourvu que leurs envois ne nous disent pas par la suite que cela était aussi porteur du virus ,  par ces temps j'éviterai de passer commande de produits venant de là bas.

Hélas, on n'a pas vraiment le choix. Si la France n'avait pas fermé son usine de masques...

olivierh a écrit:

Hélas, on n'a pas vraiment le choix. Si la France n'avait pas fermé son usine de masques...

La France n'a pas fermé son usine de masque, elle a fait faillite ou a été délocalisée. Quand l'Etat prend les entreprises pour des vaches à lait, elles deviennent moins concurrentielles et crèvent.

Le Nain a écrit:

olivierh a écrit:

Hélas, on n'a pas vraiment le choix. Si la France n'avait pas fermé son usine de masques...

La France n'a pas fermé son usine de masque, elle a fait faillite ou a été délocalisée. Quand l'Etat prend les entreprises pour des vaches à lait, elles deviennent moins concurrentielles et crèvent.

Je partage entièrement ton opinion.
La France crève de trop d'Etat et d'une administration pléthorique et inefficace.