Bonaparte...

Saviez-vous que Bonaparte a failli partir avec l'expédition de La Pérouse...qui fit naufrage aux îles Salomon. La face du monde européen en aurait été surement changée.

olivierh a écrit:Saviez-vous que Bonaparte a failli partir avec l'expédition de La Pérouse...qui fit naufrage aux îles Salomon. La face du monde européen en aurait été surement changée.

Non, je ne connaissais pas cette anecdote. C'est vrai que pour le coup, c'est l'histoire du monde qui aurait basculer.

olivierh a écrit:Saviez-vous que Bonaparte a failli partir avec l'expédition de La Pérouse...qui fit naufrage aux îles Salomon. La face du monde européen en aurait été surement changée.

C'est vrai qu'il y aurait eu de fâcheuses conséquences : ...je n'aurais pas trouvé mes 2 blanches Napoléon 1er ...

J'ignorais ce détail. Mais un oncle de Ferdinand de Lesseps, Barthélémy, participa à l'expédition, et survécut. Comme il parlait russe, il fut débarqué dans le Kamchatka chargé de documents à remettre à Louis XVI. Il traversa toute la Russie d'est en ouest pour gagner Versailles, 16.000 kilomètres sans train, à cheval et en traîneau. Il a laissé un récit de son voyage fort intéressant.

Le Nain a écrit:J'ignorais ce détail. Mais un oncle de Ferdinand de Lesseps, Barthélémy, participa à l'expédition, et survécut. Comme il parlait russe, il fut débarqué dans le Kamchatka chargé de documents à remettre à Louis XVI. Il traversa toute la Russie  d'est en ouest pour gagner Versailles, 16.000 kilomètres sans train, à cheval et en traîneau. Il a laissé un récit de son voyage fort intéressant.

Tu m'étonnes, à cette époque même un voyage moyen en France n'était pas simple, alors 16000 kilomètre dans des endroits inconnus....

Oui il y a des périples que l'on très loin d'imaginer cela devait relever du miracle , le mot aventurier dans le vrai sens du terme , un kool lenta journalier et cela pendant de longs mois ou années parfois. On ne peut que rester admiratif et tirer nos chapeaux devant de tels exploits.

PAT13 a écrit:Oui il y a des périples que l'on très loin d'imaginer cela devait relever du miracle , le mot aventurier dans le vrai sens du terme , un kool lenta journalier et cela pendant de longs mois ou années parfois. On ne peut que rester admiratif et tirer nos chapeaux devant de tels exploits.

C'est ce que j'aime dans les récits des cap-horniers, meme si les routes étaient connus, ces navigations à la voile restaient de vrais moments de bravoure

Si vous allez chez Gallica, le site numérique de la BNF, vous avez l'intégrale d'une revue qui est parue entre 1850 et 1900, et qui s'appelle le tour du monde. Cette revue n'a publié que des récits de voyages, et si il y a des voyages pépères, qui valent le coup parce que ce sont des régions qui ont terriblement changé, d'autres étaient beaucoup plus dangereuses, en Afrique ou en Amazonie.

Ca dépayse vraiment, maintenant, tout se ressemble.

Le Nain a écrit:Si vous allez chez Gallica, le site numérique de la BNF, vous avez l'intégrale d'une revue qui est parue entre 1850 et 1900, et qui s'appelle le tour du monde. Cette revue n'a publié que des récits de voyages, et si il y a des voyages pépères, qui valent le coup parce que ce sont des régions qui ont terriblement changé, d'autres étaient beaucoup plus dangereuses, en Afrique ou en Amazonie.

Ca dépayse vraiment, maintenant, tout se ressemble.

Je viens d'aller voir, je vous met le lien.
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Intéressant. L'Histoire est pleine de faits qui, s'ils avaient ou non eu lieu, auraient changé la face du Monde. Par exemple Hitler qui se piquait de peindre et qui a été refusé au Beaux Arts dans sa jeunesse. 'il avait été admis ......

Polo31 a écrit:

PAT13 a écrit:Oui il y a des périples que l'on très loin d'imaginer cela devait relever du miracle , le mot aventurier dans le vrai sens du terme , un kool lenta journalier et cela pendant de longs mois ou années parfois. On ne peut que rester admiratif et tirer nos chapeaux devant de tels exploits.

C'est ce que j'aime dans les récits des cap-horniers, meme si les routes étaient connus, ces navigations à la voile restaient de vrais moments de bravoure

Ou tout simplement un gros brin d'inconscience , je serais curieux de savoir  combien sont partis pour le nombre d'arrivée. En fait le nombre de naufrages étaient souvent plus important proche des côtes dû à l'échouage d'éceuils ou de haut fonds ignorés , qu'aux véritables tempêtes car pour se rassurer ils essayaient de suivre les côtes  à la vue   . Ensuite les embarcations étaient remplies comme un oeuf et au premier coup de tabac (mauvais temps , tempête) la cargaison pouvait se déplacer et déséquilibrait ainsi le navire par ce fait chavirait par la suite . Beaucoup d'épaves romaines se trouve par moins de 50 mètres de fond c'est  à dire assez proche du littoral dans ma région . Maintenant c'est différent pour les vaisseaux qui prenaient bien le grand  large avec tous les dangers que cela  pouvait comporter.

PAT13 a écrit:

Polo31 a écrit:

PAT13 a écrit:Oui il y a des périples que l'on très loin d'imaginer cela devait relever du miracle , le mot aventurier dans le vrai sens du terme , un kool lenta journalier et cela pendant de longs mois ou années parfois. On ne peut que rester admiratif et tirer nos chapeaux devant de tels exploits.

C'est ce que j'aime dans les récits des cap-horniers, meme si les routes étaient connus, ces navigations à la voile restaient de vrais moments de bravoure

Ou tout simplement un gros brin d'inconscience , je serais curieux de savoir  combien sont partis pour le nombre d'arrivée. En fait le nombre de naufrages étaient souvent plus important proche des côtes dû à l'échouage d'éceuils ou de haut fonds ignorés , qu'aux véritables tempêtes car pour se rassurer ils essayaient de suivre les côtes  à la vue   . Ensuite les embarcations étaient remplies comme un oeuf et au premier coup de tabac (mauvais temps , tempête) la cargaison pouvait se déplacer et déséquilibrait ainsi le navire par ce fait chavirait par la suite . Beaucoup d'épaves romaines se trouve par moins de 50 mètres de fond c'est  à dire assez proche du littoral dans ma région . Maintenant c'est différent pour les vaisseaux qui prenaient bien le grand  large avec tous les dangers que cela  pouvait comporter.

Oui, pour moi les premiers marins n'ont pas moins de mérite que les pionniers de l'espace.